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Le cytomégalovirus Prévention pour les futurs parents ...
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Le cytomégalovirus Prévention pour les futurs parents ...
Le cytomégalovirus (ou CMV) est un virus responsable d'infections passant le plus souvent inaperçues. Son caractère pathogène survient surtout chez des patients dont les défenses immunitaires sont faibles : traités par immunodépresseur, atteints par le sida, fœtus. Une infection à cytomégalovirus chez la femme enceinte peut provoquer des lésions chez le fœtus. Il s'agit de l'infection fœtale congénitale la plus fréquente dans les pays industrialisés.
Le cytomégalovirus appartient à la famille des herpesvirus qui comprend : le virus de l'herpès simplex, le virus d'Epstein-Barr et le virus varicelle-zona. Cette famille de virus est caractérisée par sa capacité à produire des infections latentes et persistantes.
Sa structure comporte un génome, une capside, une enveloppe recouverte de glycoprotéïnes.
Le génome (ADN) est emballé dans une structure protéique appelée capside, qui a une conformation géométrique polyédrique.
Les atteintes caractéristiques du CMV au niveau du fœtus sont:
Signes échographiques
Microcéphalie
Dilatation des ventricules latéraux du cerveau
Retard de croissance intra utérin
Hyperéchogénicité des intestins
À la naissance
Poids et taille de l'enfant sont en dessous de la normale. Parfois un état fébrile est retrouvé.
Devenu l'infection congénitale virale la plus fréquente en France, cet article concerne tout autant les futures mamans que les futurs papas ainsi que le grand public.
En France, le CMV est la première cause de malformations congénitales et le risque représenté par cette infection est devenu supérieur à celui d'autres maladies plus médiatisées telles la toxoplasmose, rubéole ou hépatite B pour lesquelles ont pratique le dépistage chez la femme enceinte.
On estime entre 500 et 700 le nombre d'enfants présentant des séquelles chaque année. Quand un fœtus est infecté par le CMV l'enfant à 90 % de chances de naître symptomatique, mais avec un risque de surdité séquellaire qui peut se révéler dans les premières années de la vie et 10 % de risques de présenter des symptômes dès la naissance. Dans ces 10 % environ la moitié des nouveau-nés décèdent et l'autre moitié présente des séquelles neurosensorielles graves (surdité et/ou retard de croissance/ retard mental/ atteintes oculaires : cataracte, microphtalmie, nystagmus, strabisme, cécité corticale).
Autrefois l'infection des femmes enceintes par le cytomégalovirus était rare. En effet, la maladie était souvent contractée dans l'enfance et les femmes étaient immunisées bien avant d'avoir un enfant. Aujourd'hui l'amélioration des conditions d'hygiène aidant, environ 50 % des femmes enceintes sont séronégatives, donc à risques de contamination pendant la grossesse. Les plus exposées sont celles qui évoluent professionnellement au milieu des jeunes enfants et/ou ayant un enfant allant à la crèche ou à l'école (1 enfant sur 3 en crèche est porteur du CMV).
Grossesse : Comment se protéger du cytomégalovirus (CMV) ?
Le but de cet article est donc de vous sensibiliser à un dépistage précoce c'est à dire dès la première consultation prénatale à faire pratiquer en même temps que les autres tests (toxo et rubéole) de manière à repérer celles n'ayant jamais été au contact du CMV et à leur proposer des précautions d'hygiènes précises à mettre en œuvre tout au long de leur grossesse.
Le virus se transmettant par les larmes, l'urine, la salive, l'écoulement nasal et les sécrétions vaginales. Les conseils d'hygiène s'adressent tant aux futurs mamans ou papas qui sont au contact de jeunes enfants :
• se laver les mains après tout contact avec les urines (change, pot…), les larmes et les sécrétions nasales.
• S’abstenir de goûter le biberon, les aliments, de sucer la cuillère.
• Ne pas utiliser ses affaires de toilette (gant et serviette, brosse à dents)
• évitées de l'embrassé sur les lèvres.
Alors pour éviter que cela ne se reproduise plus, parlez-en avec votre gynécologue-obstétricien. Demander à faire le test (une simple prise de sang suffit).
Un enfant toutes les 3 minutes nait dans le monde infecté par le CMV !
Aux États-Unis va être lancée une grande campagne de prévention nous espérons que cela suivra en Europe. À Limoges une équipe de médecins biologistes travaille sur le CMV et un site Internet devrait prochainement voir le jour pour informer le grand public.
Devenu l'infection congénitale virale la plus fréquente en France, cet article concerne tout autant les futures mamans que les futurs papas ainsi que le grand public.
En France, le CMV est la première cause de malformations congénitales et le risque représenté par cette infection est devenu supérieur à celui d'autres maladies plus médiatisées telles la toxoplasmose, rubéole ou hépatite B pour lesquelles ont pratique le dépistage chez la femme enceinte.
Selon différentes études ces précautions suffisent le plus souvent à réduire de manière importante le risque d'infection maternelle.
Une campagne nationale d'information a été lancée en octobre 2001 par le groupe français CMV
Alors pour éviter que cela ne se reproduise plus, parlez-en avec votre gynécologue-obstétricien. Demander à faire le test (une simple prise de sang suffit).
Un enfant toutes les 3 minutes nait dans le monde infecté par le CMV !
Aux États-Unis va être lancée une grande campagne de prévention nous espérons que cela suivra en Europe. À Limoges une équipe de médecins biologistes travaille sur le CMV et un site Internet devrait prochainement voir le jour pour informer le grand public.
Le cytomégalovirus appartient à la famille des herpesvirus qui comprend : le virus de l'herpès simplex, le virus d'Epstein-Barr et le virus varicelle-zona. Cette famille de virus est caractérisée par sa capacité à produire des infections latentes et persistantes.
Sa structure comporte un génome, une capside, une enveloppe recouverte de glycoprotéïnes.
Le génome (ADN) est emballé dans une structure protéique appelée capside, qui a une conformation géométrique polyédrique.
Les atteintes caractéristiques du CMV au niveau du fœtus sont:
- une atteinte neurologique plus ou moins sévère, retard mental, une calcification cérébrale à l'échographie ;
- une atteinte des nerfs sensoriels : surdité, choriorétinite ;
- une atteinte hépatique (ictère, troubles hémorragiques) ;
- une atteinte digestive avec une hyperéchogénicité des anses intestinales ;
- une thrombopénie ;
- un retard de croissance intra-utérin.
Le diagnostic est généralement évoqué à l'échographie. Le pronostic est fonction de l'atteinte neurologique.
Clinique chez l'adulte : primo-infection de la femme enceinte - 80 % des cas : asymptomatique
- 10 % des cas : syndrome grippal
- 5 % des cas : fièvre prolongée
Signes échographiques
Microcéphalie
Dilatation des ventricules latéraux du cerveau
Retard de croissance intra utérin
Hyperéchogénicité des intestins
À la naissance
Poids et taille de l'enfant sont en dessous de la normale. Parfois un état fébrile est retrouvé.
Devenu l'infection congénitale virale la plus fréquente en France, cet article concerne tout autant les futures mamans que les futurs papas ainsi que le grand public.
En France, le CMV est la première cause de malformations congénitales et le risque représenté par cette infection est devenu supérieur à celui d'autres maladies plus médiatisées telles la toxoplasmose, rubéole ou hépatite B pour lesquelles ont pratique le dépistage chez la femme enceinte.
On estime entre 500 et 700 le nombre d'enfants présentant des séquelles chaque année. Quand un fœtus est infecté par le CMV l'enfant à 90 % de chances de naître symptomatique, mais avec un risque de surdité séquellaire qui peut se révéler dans les premières années de la vie et 10 % de risques de présenter des symptômes dès la naissance. Dans ces 10 % environ la moitié des nouveau-nés décèdent et l'autre moitié présente des séquelles neurosensorielles graves (surdité et/ou retard de croissance/ retard mental/ atteintes oculaires : cataracte, microphtalmie, nystagmus, strabisme, cécité corticale).
Autrefois l'infection des femmes enceintes par le cytomégalovirus était rare. En effet, la maladie était souvent contractée dans l'enfance et les femmes étaient immunisées bien avant d'avoir un enfant. Aujourd'hui l'amélioration des conditions d'hygiène aidant, environ 50 % des femmes enceintes sont séronégatives, donc à risques de contamination pendant la grossesse. Les plus exposées sont celles qui évoluent professionnellement au milieu des jeunes enfants et/ou ayant un enfant allant à la crèche ou à l'école (1 enfant sur 3 en crèche est porteur du CMV).
Grossesse : Comment se protéger du cytomégalovirus (CMV) ?
Le but de cet article est donc de vous sensibiliser à un dépistage précoce c'est à dire dès la première consultation prénatale à faire pratiquer en même temps que les autres tests (toxo et rubéole) de manière à repérer celles n'ayant jamais été au contact du CMV et à leur proposer des précautions d'hygiènes précises à mettre en œuvre tout au long de leur grossesse.
Le virus se transmettant par les larmes, l'urine, la salive, l'écoulement nasal et les sécrétions vaginales. Les conseils d'hygiène s'adressent tant aux futurs mamans ou papas qui sont au contact de jeunes enfants :
• se laver les mains après tout contact avec les urines (change, pot…), les larmes et les sécrétions nasales.
• S’abstenir de goûter le biberon, les aliments, de sucer la cuillère.
• Ne pas utiliser ses affaires de toilette (gant et serviette, brosse à dents)
• évitées de l'embrassé sur les lèvres.
Alors pour éviter que cela ne se reproduise plus, parlez-en avec votre gynécologue-obstétricien. Demander à faire le test (une simple prise de sang suffit).
Un enfant toutes les 3 minutes nait dans le monde infecté par le CMV !
Aux États-Unis va être lancée une grande campagne de prévention nous espérons que cela suivra en Europe. À Limoges une équipe de médecins biologistes travaille sur le CMV et un site Internet devrait prochainement voir le jour pour informer le grand public.
Devenu l'infection congénitale virale la plus fréquente en France, cet article concerne tout autant les futures mamans que les futurs papas ainsi que le grand public.
En France, le CMV est la première cause de malformations congénitales et le risque représenté par cette infection est devenu supérieur à celui d'autres maladies plus médiatisées telles la toxoplasmose, rubéole ou hépatite B pour lesquelles ont pratique le dépistage chez la femme enceinte.
Selon différentes études ces précautions suffisent le plus souvent à réduire de manière importante le risque d'infection maternelle.
Une campagne nationale d'information a été lancée en octobre 2001 par le groupe français CMV
Alors pour éviter que cela ne se reproduise plus, parlez-en avec votre gynécologue-obstétricien. Demander à faire le test (une simple prise de sang suffit).
Un enfant toutes les 3 minutes nait dans le monde infecté par le CMV !
Aux États-Unis va être lancée une grande campagne de prévention nous espérons que cela suivra en Europe. À Limoges une équipe de médecins biologistes travaille sur le CMV et un site Internet devrait prochainement voir le jour pour informer le grand public.
Re: Le cytomégalovirus Prévention pour les futurs parents ...
CONSEILS DE PREVENTION DU CYTOMEGALOVIRUS - CMV
Par le Dr J.C. Hild - Ploemeur
http://www.stethonet.org
La primo-infection par le CMV ne pose problème que pour les femmes enceintes non immunisées et les patients atteints par le HIV
Cette note est donc destinée à Toutes les Femmes Enceintes non immunisées qui vivent au contact d'enfants en Bas-Age soit par leur activité professionnelle soit chez elle par la fratrie
Sont donc particulièrement concernées :
AFIN DE PROTÉGER VOTRE FUTUR ENFANT, pour éviter d'etre contaminée par le Virus du CMV, prenez les précautions suivantes.
EN CONCLUSION SURTOUT : LAVEZ-VOUS LES MAINS APRES CHAQUE CHANGE.
Par le Dr J.C. Hild - Ploemeur
http://www.stethonet.org
La primo-infection par le CMV ne pose problème que pour les femmes enceintes non immunisées et les patients atteints par le HIV
Cette note est donc destinée à Toutes les Femmes Enceintes non immunisées qui vivent au contact d'enfants en Bas-Age soit par leur activité professionnelle soit chez elle par la fratrie
Sont donc particulièrement concernées :
- Ils semble souhaitable que ces patientes à risque bénéficie d'une sérologie CMV en début de grossesse afin d'évaluer leur statut immunitaire
- les personnels de crèche
- les Puéricultrices, assistabntes maternelles, etc.
- Les Institutrices
- Les Infirmières et personnel féminin en Pédiatrie
- toutes les Femmes qui ont à la maison un Bébé
- Les Infirmières et personnel féminin en Gériatriques (élimination Urinaire du CMV)
AFIN DE PROTÉGER VOTRE FUTUR ENFANT, pour éviter d'etre contaminée par le Virus du CMV, prenez les précautions suivantes.
- LAVEZ-VOUS LES MAINS SOIGNEUSEMENT,
---- Avant et après avoir changé un nourrisson,
---- Jetez rapidement les Couches Souillées d'urines, - LAVEZ A GRANDE EAU LES POTS
---- Soit avec de l'eau bouillante soit avec un désinfectent comme l'eau de javel
---- A chaque urine soit avec des gants soit faites le faire par une autre personne . - PENDANT LES REPAS
---- n'utilisez les couverts des nourrissons
---- Ne goûtez jamais leurs repas avec leur Cuillére
---- Ne goûtez jamais les biberons . Déposer une goutte de lait sur le dos de la main suffit pour tester sa température. - EVITER TOUT CONTACT AVEC LES SECRETIONS. DES NOURRISSONS
---- N'embrassez jamais un Bébé sur la bouche,
---- Évitez de même le contact de votre bouche avec les secrétions nasales
---- Evitez le contact de votre bouche avec les Larmes
EN CONCLUSION SURTOUT : LAVEZ-VOUS LES MAINS APRES CHAQUE CHANGE.
Aline- Messages : 28
Date d'inscription : 22/09/2010
Re: Le cytomégalovirus Prévention pour les futurs parents ...
INFECTIONS VIRALES ET GROSSESSE
Le cytomégalovirus.
Comment ça se manifeste ?
L'infection à cytomégalovirus se manifeste, chez l'adulte qui n'a pas de problème immunitaire particulier, par un syndrome assez banal, de type viral, peu spécifique.
On rencontre assez souvent de la fièvre, des maux de tête,
Le sujet est assez souvent fébrile, fatigué. Il souffre de maux de tête et de douleurs abdominales. Sa langue est chargée et ses muscles endoloris.
Il présente souvent une augmentation de volume des ganglions de la chaîne du cou.
Bref, rien de bien différent d'un banal syndrome grippal.
La maladie tire son nom de ce que l'on observe, au microscope, de larges inclusions dans les noyaux des cellules infectées, en particulier des cellules contenues dans le sang
Le virus
Le virus responsable de l'infection fait partie de la famille des herpès virus.
Ces virus ont la particularité de pouvoir se terrer dans l'organisme sans en être éliminés complètement.
C'est là qu'est le problème. Une personne qui a été en contact avec le CMV peut, alors même qu'elle ne présente plus de symptôme, secréter, par les fluides de son organisme, du virus. Cette présence, dans le sang, le sperme, les urines, la salive et les larmes notamment, est occasionnelle, intermittente.
Pourquoi et comment l'éviter ?
La question vaut bien entendu pour le cas où l'on est enceinte. Le reste du temps, hormis en cas d'immunodéficience, ça n'a pas d'intérêt.
Il vaut mieux, en effet, l'éviter, parce qu'il n'y a pas de traitement à l'heure actuelle.
Plus de 50% des femmes en âge de procréer ont déjà présenté une cytomégalovirose. Une grossesse qui surviendrait chez elles ne présente pas de risque, sauf dans de rares cas d'immunodéficience.
Par contre, si on contracte la maladie en cours de grossesse, il y a des risques pour l'enfant à naître.
La plupart des adultes sont infectés par un enfant vivant en communauté.
Le virus n'est pas réputé très contagieux. Il faut des contacts répétés, ce qui est souvent le cas lorsque l'on a un enfant en bas âge ou que l'on travaille dans un milieu où évoluent des enfants.
Pour éviter de l'attraper, il faut se prémunir de ces fameux fluides, en l'occurrence, la salive, les larmes et les urines. Pour ce faire, éviter de goûter les aliments de bébé avec sa propre cuiller, de pratiquer les baisers baveux, d'utiliser les mouche-bébés qui aspirent les glaires et autres situations à risque.
Il faut savoir pratiquer une hygiène sans faille, notamment se laver souvent les mains. En effet, mouchoirs, bavoirs, serviettes, linge de corps, draps, couverts... sont autant d'objets pouvant véhiculer le virus.
A signaler que le virus peut aussi être présent dans le sperme.
Il n'est pas prévu, en France, de généraliser la sérologie systématique des femmes enceintes.
Le cytomégalovirus.
Comment ça se manifeste ?
L'infection à cytomégalovirus se manifeste, chez l'adulte qui n'a pas de problème immunitaire particulier, par un syndrome assez banal, de type viral, peu spécifique.
On rencontre assez souvent de la fièvre, des maux de tête,
Le sujet est assez souvent fébrile, fatigué. Il souffre de maux de tête et de douleurs abdominales. Sa langue est chargée et ses muscles endoloris.
Il présente souvent une augmentation de volume des ganglions de la chaîne du cou.
Bref, rien de bien différent d'un banal syndrome grippal.
La maladie tire son nom de ce que l'on observe, au microscope, de larges inclusions dans les noyaux des cellules infectées, en particulier des cellules contenues dans le sang
Le virus
Le virus responsable de l'infection fait partie de la famille des herpès virus.
Ces virus ont la particularité de pouvoir se terrer dans l'organisme sans en être éliminés complètement.
C'est là qu'est le problème. Une personne qui a été en contact avec le CMV peut, alors même qu'elle ne présente plus de symptôme, secréter, par les fluides de son organisme, du virus. Cette présence, dans le sang, le sperme, les urines, la salive et les larmes notamment, est occasionnelle, intermittente.
Pourquoi et comment l'éviter ?
La question vaut bien entendu pour le cas où l'on est enceinte. Le reste du temps, hormis en cas d'immunodéficience, ça n'a pas d'intérêt.
Il vaut mieux, en effet, l'éviter, parce qu'il n'y a pas de traitement à l'heure actuelle.
Plus de 50% des femmes en âge de procréer ont déjà présenté une cytomégalovirose. Une grossesse qui surviendrait chez elles ne présente pas de risque, sauf dans de rares cas d'immunodéficience.
Par contre, si on contracte la maladie en cours de grossesse, il y a des risques pour l'enfant à naître.
La plupart des adultes sont infectés par un enfant vivant en communauté.
Le virus n'est pas réputé très contagieux. Il faut des contacts répétés, ce qui est souvent le cas lorsque l'on a un enfant en bas âge ou que l'on travaille dans un milieu où évoluent des enfants.
Pour éviter de l'attraper, il faut se prémunir de ces fameux fluides, en l'occurrence, la salive, les larmes et les urines. Pour ce faire, éviter de goûter les aliments de bébé avec sa propre cuiller, de pratiquer les baisers baveux, d'utiliser les mouche-bébés qui aspirent les glaires et autres situations à risque.
Il faut savoir pratiquer une hygiène sans faille, notamment se laver souvent les mains. En effet, mouchoirs, bavoirs, serviettes, linge de corps, draps, couverts... sont autant d'objets pouvant véhiculer le virus.
A signaler que le virus peut aussi être présent dans le sperme.
Il n'est pas prévu, en France, de généraliser la sérologie systématique des femmes enceintes.
Aline- Messages : 28
Date d'inscription : 22/09/2010
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